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Communiqués de presse

(Berne, le 18 octobre) Il y a quinze ans, le foraus a été créé par un petit groupe de personnes passionnées de politique étrangère avec l’idée de faire entendre la voix des jeunes. Aujourd’hui, le foraus est un think tank établi qui ne se contente pas de fournir des contenus pertinents en matière de politique étrangère, mais qui encourage également des centaines de jeunes talents à donner des impulsions importantes pour la prise de décisions politiques. À l’occasion de son 15e anniversaire, le foraus jette un regard rétrospectif sur son passé et présente sa vision pour l’avenir. Un objectif : convaincre encore plus de jeunes que la politique étrangère nous concerne toutes et tous et que leur voix et leur engagement sont donc essentiels.

Pourquoi le foraus ?

Le foraus est le think tank suisse de politique étrangère. Quelle est notre mission principale – notre « pourquoi » ? La réponse réside dans notre modèle unique : associer des faits scientifiques à des approches innovantes et mettre en relation des jeunes talents avec des acteur·rice·s expérimenté·e·s. Nos forces : 

  • Nous renforçons la voix des jeunes : le foraus est une plateforme permettant aux jeunes de développer et d’affiner leurs idées et de les partager avec les décideur·euse·s. Ces voix enrichissent la politique étrangère avec des perspectives fraîches et orientées vers l’avenir et assurent un paysage politique diversifié.
  • Nous produisons du contenu basé sur des preuves : le foraus est synonyme d’analyses de haute qualité sur des thèmes de politique étrangère. Avec 95 publications, trois livres et plus de 2000 analyses, le think tank offre un point de vue fondé sur la recherche et des recommandations d’action concrètes.
  • Nous sommes innovant·e·s et non conventionnel·le·s : les penseur·euse·s du foraus enrichissent les idées traditionnelles des partis, des gouvernements et des universités. Le foraus instaure des formats de discussion et des méthodes innovants, et trouve de nouvelles manières d’introduire des idées en politique – en Suisse comme à l’international.
  • Nous promouvons le dialogue et la coopération : Avec plus de 100 événements thématiques annuels, le foraus réunit des politicien·ne·s, des expert·e·s et le public afin de développer ensemble des solutions aux défis mondiaux.

Une vision pour l’avenir

La vision d’avenir du foraus se concentre sur l’objectif central de promouvoir une politique étrangère inclusive et participative. Nous atteignons cette vision concrètement avec : 

  • Des thèmes d’avenir : Ces prochains mois, le foraus publiera des analyses pertinentes sur des thèmes de politique étrangère orientés vers l’avenir. Les futures publications traiteront d’un large éventail de sujets, tels que la souveraineté numérique, l’approche One Health, la consommation durable de viande, une réorientation du PIB dans la politique étrangère suisse, l’égalité des sexes dans la diplomatie et bien d’autres questions. 
  • Politique en scène : Zukunft entscheiden : Ce projet innovant associe théâtre et politique. L’objectif : rendre la politique étrangère tangible et impliquer le grand public dans la recherche de solutions aux défis mondiaux. Lors de premières mises en scène en mai 2025, les participant·e·s seront projeté·e·s dans le futur, simuleront une négociation climatique fictive et prendront des décisions qui illustrent la complexité de la politique.
  • GenSouth : En partenariat avec le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), ce programme invite, à Genève, les 2 & 3 décembre prochains, 15 chercheur·euse·s affilié·e·s à des think tanks de pays du Sud global à partager leurs perspectives sur le système multilatéral. Le programme a pour objectif de générer des idées politiques concrètes et des recommandations qui serviront de boussole pour le multilatéralisme du futur (publication prévue pour fin février 2025).
  • Une communauté diverse : Avec des projets comme Politique en scène et GenSouth, nous sortons de notre bulle et nous nous engageons pour un réseau de jeunes encore plus divers et inclusif au cours des 15 prochaines années.

Medienmitteilung

Neue foraus Publikation: Trump 2.0? Was auf die Schweiz zukommen könnte

 (Bern, 03. Oktober 2024) Eine zweite Trump-Administration würde weltweit Verunsicherung auslösen. Auch die Schweiz, für die die USA ein zentraler Partner sind, wäre betroffen und täte gut daran, sich entsprechend vorzubereiten. Auf Basis  der Erfahrungen aus der ersten Trump-Amtszeit und dem neuen Wahlprogramm, ist ein weiterer Rückzug von der globalen Führungsrolle sowie ein zunehmender Transaktionalismus zu erwarten. Besonders betroffen wären dabei drei Schlüsselbereiche der bilateralen Beziehungen: Handel, Sicherheit und der Finanzplatz. Die neue foraus-Publikation beleuchtet, welche konkreten Auswirkungen in diesen Bereichen für die Schweiz möglich wären und zeigt Lösungsansätze auf.

 Die Chancen für eine Wiederwahl von Donald Trump sind intakt. In seiner ersten Amtszeit verfolgte er eine unvorhersehbare und unkonventionelle Aussenpolitik, die viel Glas zerschlug und Verbündete vor den Kopf stiess, gleichzeitig aber teilweise dabei half, festgefahrene Dossiers zu deblockieren. In seiner zweiten Amtszeit dürften sich drei zentrale Tendenzen verschärfen:

  • Mehr America first: Wirtschaftsprotektionismus und weniger Unterstützung für die NATO.
  • Fortwährende Untergrabung der multilateralen Ordnung und ihrer Gremien.
  • Verstärkter Bilateralismus auf Basis der Stärke der USA.

Die Schweiz wäre dabei durch mögliche neue Zollschranken, Änderungen in der Finanzregulierung und eine Verschiebung der sicherheitspolitischen Prioritäten potenziell besonders betroffen. Diese Herausforderungen sind isoliert betrachtet nicht zwingend neu oder kämen nicht besonders unerwartet. Doch Trump neigt dazu, Themen zu verknüpfen, die traditionell getrennt behandelt werden – ein unkonventioneller Ansatz, auf den die Schweiz nicht ausreichend vorbereitet ist.

Empfohlene Massnahmen:

  • Bildung einer interdepartementalen Task-Force zur Erarbeitung und Abstimmung möglicher Szenarien und Schweizer Reaktionen darauf.
  • Intensivierung des Dialogs mit internationalen Partnern wie der EU, um deren Vorbereitungen zu verstehen und sich, falls gewünscht und möglich, gemeinsam abzustimmen.
  • Proaktive Diskussionen zwischen allen politischen Akteuren über innenpolitisch heikle Themen (wie etwa die Neutralität), um bei Bedarf im Einklang mit der direkten Demokratie rasch handlungsfähig zu sein.

Und selbst wenn die Demokraten das Rennen machen würden, dürften ähnliche Herausforderungen unter einer Harris-Administration bestehen bleiben – wenn auch mit weniger Überraschungsmoment. Die vorgeschlagenen Massnahmen zielen darauf ab, die Handlungsfähigkeit der Schweiz sowohl kurz- als auch langfristig zu sichern. Denn wenn sich etwas gezeigt hat im letzten Jahrzehnt, dann dass die Welt immer unsicherer wird – egal wer gerade im Weissen Haus sitzt. 

 

Communiqué de presse

Nouvelle publication du foraus : Trump 2.0? À quoi peut s’attendre la Suisse

(Berne, le 3 octobre 2024) Une seconde administration Trump provoquerait des incertitudes à l’échelle mondiale. La Suisse, pour qui les États-Unis sont un partenaire central, ne serait pas épargnée et ferait bien de s’y préparer. En se basant sur l’expérience de la première présidence Trump et sur le nouveau programme électoral, on peut s’attendre à un retrait supplémentaire des États-Unis de leur rôle de leader mondial ainsi qu’à un accroissement du transactionnalisme. Trois domaines clés des relations bilatérales seraient particulièrement touchés : le commerce, la sécurité et la place financière. La nouvelle publication du foraus examine les impacts potentiels pour la Suisse dans ces domaines et propose des solutions.

Les chances de réélection de Donald Trump restent solides. Lors de son premier mandat, il a adopté une politique étrangère imprévisible et non conventionnelle, qui a souvent froissé les alliés et perturbé l’ordre établi, tout en débloquant parfois des dossiers enlisés. Lors d’un second mandat, trois grandes tendances pourraient s’accentuer :

  • Plus de « America First » : avec un protectionnisme économique et une réduction du soutien à l’OTAN.
  • Poursuite de l’affaiblissement de l’ordre multilatéral et de ses institutions.
  • Renforcement du bilatéralisme fondé sur la puissance des États-Unis.

La Suisse pourrait être particulièrement impactée par de nouvelles barrières douanières, des changements dans la régulation financière et un déplacement des priorités en matière de sécurité. Ces défis, pris individuellement, ne sont pas nécessairement nouveaux ou inattendus. Cependant, Trump a tendance à lier des questions qui, traditionnellement, sont traitées séparément – une approche non conventionnelle pour laquelle la Suisse n’est pas suffisamment préparée.

Mesures recommandées :

  • Création d’une task force interdépartementale pour élaborer et coordonner des scénarios potentiels et des réponses suisses.
  • Intensification du dialogue avec des partenaires internationaux comme l’UE afin de comprendre leurs préparations et, si souhaité et possible, de coordonner les actions.
  • Discussions proactives entre tous les acteurs politiques sur des sujets délicats à l’échelle nationale (comme la neutralité), afin de pouvoir agir rapidement en accord avec la démocratie directe si nécessaire.

Même si les démocrates devaient remporter l’élection, des défis similaires persisteraient sous une administration Harris – bien que probablement avec moins d’éléments de surprise. Les mesures proposées visent à assurer la capacité d’action de la Suisse à court et long terme. Car la dernière décennie a bien montré que le monde devient de plus en plus incertain – peu importe qui occupe la Maison Blanche.

Bern, 29. August 2024 – Der heute erschienene Bericht der Studienkommission Sicherheitspolitik (SKSiPo) legt dar, wie eine zukunftsfähige Sicherheitspolitik ausgestaltet werden kann. Der unabhängige und evidenzbasierte Think Tank foraus war durch Präsidentin, Elisa Cadelli, in der Studienkommission vertreten und unterstützt das Bestreben, die Schweizer Sicherheitspolitik zukunftsgerichtet und breit zu denken. Ziel der Teilnahme von foraus an der Studienkommission war es,  zukunftsorientierte aussenpolitische Impulse zu geben, die insbesondere die Interessen und Perspektiven der jüngeren Generation widerspiegeln. Diese wurden in der Diskussion aufgenommen und sind teilweise im Bericht abgebildet. 

Im Rahmen der Arbeit der Kommission konnte foraus richtungsweisende sicherheitspolitische Themen auf die Agenda setzen, darunter die Auswirkungen des Klimawandels auf die Sicherheit, die Gouvernanz von Künstlicher Intelligenz und hybride Kriegsführungen wie bspw. durch Desinformation. Des Weiteren setzte sich foraus dafür ein, dass die Rolle der Schweiz auf internationaler Ebene diskutiert wird, um zu einer verbesserten globalen Sicherheitslage beizutragen. „Die Schweiz hat das Potenzial, eine bedeutende Rolle im internationalen Sicherheitskontext zu spielen, insbesondere in der Wissenschaft und Technologie oder aber in der internationalen Regulation. Unsere Arbeit in der Kommission zielte darauf ab, dieses Potenzial voll auszuschöpfen und nachhaltige, innovative Ansätze in die aussenpolitische Sicherheit einzubringen“, so Cadelli.

Die eingebrachten Inhalte wurden unter der Leitung von Elisa Cadelli nach dem partizipativen Ansatz von foraus in Zusammenarbeit mit einer Gruppe foraus Expert:innen entwickelt und der Kommission zur Diskussion und Abstimmung vorgelegt. Elisa Cadelli betont denn auch die Wichtigkeit einer partizipativen Herangehensweise zur Ausgestaltung der Schweizer Sicherheitspolitik: „Seitens foraus haben wir die Perspektiven unserer Expert:innen genutzt, um umfassende und fundierte Beiträge zu erarbeiten, die eine langfristige Ausrichtung der Schweizer Sicherheitspolitik prägen können.”

Mit der Teilnahme an der SKSiPo setzt foraus ein starkes Zeichen für eine zukunftsfähige, breit abgestützte und international respektierte Schweizer Sicherheitspolitik.

 

Kontakt

Elisa Cadelli, Präsidentin, +41 76 381 49 16 

elisa.cadelli@foraus.ch

 

Sereina Capatt, Co-Geschäftsführerin, +41 79 532 12 32

sereina.capatt@foraus.ch



Berne, le 29 août 2024 – Le rapport de la Commission d’étude sur la politique de sécurité (CPS), publié aujourd’hui, expose comment une politique de sécurité tournée vers l’avenir peut être élaborée. Le foraus, think tank indépendant de politique étrangère, représenté au sein de la commission par sa présidente Elisa Cadelli, soutient l’ambition de repenser la politique de sécurité suisse de manière prospective et globale. L’objectif de la participation du foraus à la commission était de donner des impulsions politiques extérieures orientées vers l’avenir, qui reflètent en particulier les intérêts et les perspectives de la jeune génération. Ces contributions ont été intégrées dans la discussion et sont reflétées dans le rapport.

Dans le cadre des travaux de la commission, le foraus a pu mettre à l’agenda des thèmes déterminants pour la politique de sécurité, notamment les impacts du changement climatique, la gouvernance de l’intelligence artificielle et les guerres hybrides, telles que la problématique de  la désinformation. En outre, le foraus a insisté pour que le rôle de la Suisse sur la scène internationale soit discuté, afin de contribuer à une amélioration de la sécurité globale. « La Suisse a le potentiel de jouer un rôle clé dans le contexte de la sécurité internationale, en particulier dans les domaines de la science et de la technologie, ou encore dans la réglementation internationale. Notre travail au sein de la commission visait à exploiter pleinement ce potentiel et à introduire des approches innovantes et durables en matière de sécurité internationale », déclare Elisa Cadelli.

Les contributions ont été élaborées sous la direction de la présidente du foraus, selon l’approche participative du think tank, en collaboration avec un groupe d’expert·e·s internes, puis soumises à la commission pour discussion et approbation. Elisa Cadelli souligne également l’importance d’une approche participative dans l’élaboration de la politique de sécurité suisse : « Au foraus, nous avons utilisé les perspectives de nos expert·e·s pour élaborer des contributions complètes et fondées, qui peuvent façonner l’orientation à long terme de la politique de sécurité suisse. »

Avec sa participation à la CPS, le foraus envoie un signal fort en faveur d’une politique de sécurité tournée vers l’avenir, largement soutenue et respectée au niveau international.

Contact

Elisa Cadelli, présidente, +41 76 381 49 16

elisa.cadelli@foraus.ch

 

Marie Hürlimann, Co-Directrice, +41 78 725 43 03

marie.huerlimann@foraus.ch



Menschenrechtsdiplomatie: Wie kann Druck ausgeübt werden, um die chinesische Regierung für die in Xinjiang begangenen Rechtsverletzungen zur Verantwortung zu ziehen? Die neueste Publikation der Schweizer Denkfabrik  für Aussenpolitik analysiert die Bemühungen der westlichen liberalen Demokratien, die verschiedenen Regionen des Globalen Südens auf ihre Seite zu ziehen. 

Bern, 2. Mai 2024 – In den letzten Jahren wurden die Menschenrechtsverletzungen gegen die Uigur:innen und die anderen turksprachigen Minderheiten in der autonomen Region Xinjiang umfassend dokumentiert und haben internationale Kritik hervorgerufen. Die westlichen liberalen Demokratien haben im Menschenrechtsrat der Vereinten Nationen und im Dritten Ausschuss der Generalversammlung gemeinsame Erklärungen abgegeben, in denen sie die Lage in der Provinz verurteilen. Im Gegenzug gaben die chinesische Regierung und ihre Verbündeten gemeinsame Erklärungen ab, in denen sie ihre Politik in Xinjiang lobten. Diese “Auge um Auge”-Dynamik hat einen Wettlauf um Unterzeichnungen  ausgelöst, wobei positive Aussagen gegenüber China systematisch mehr Unterstützer:innen anziehen. Vor diesem Hintergrund wandten sich die westlichen liberalen Demokratien an den Globalen Süden, um mehr Unterzeichnerstaaten zu gewinnen – jedoch mit wenig Erfolg.

Der von foraus veröffentlichte Policy-Brief, der auf halbstrukturierten Interviews mit Diplomat:innen, zivilgesellschaftlichen Organisationen und Wissenschaftler:innen beruht, fordert die Anerkennung der politischen Natur der Menschenrechte, damit die westlichen liberalen Demokratien eine glaubwürdigere und transparentere Politik umsetzen können. Er zeigt auf, wie die Angst davor, dass China die Kritik am Menschenrechtsregime instrumentalisieren könnte, die westlichen liberalen Demokratien dazu veranlasst hat, den Status quo zu verteidigen. Sie übersehen den seit seiner Entstehung umstrittenen Charakter dieses Regimes und ignorieren dessen Schwächen.

 

Menschenrechte waren zwar schon immer politisiert, doch die geopolitische Konfrontation zwischen China und den USA hat der Frage der Politisierung von Menschenrechten und der Praxis doppelter Standards eine besondere Dringlichkeit verliehen. Darüber hinaus haben die aktuellen Kriege in der Ukraine und im Gazastreifen die Wahrnehmung der Länder des Globalen Südens hinsichtlich der Existenz von Doppelstandards verstärkt. Die starke Mobilisierung der westlichen liberalen Demokratien gegen die russische Invasion hat ihre Untätigkeit gegenüber anderen Krisen weltweit deutlich gemacht. Darüber hinaus hat ihre Unfähigkeit, Israels Angriff auf die Palästinenser:innen in Gaza scharf zu verurteilen und sich gleichzeitig um die Muslim:innen in Xinjiang zu kümmern, die Vorwürfe der Doppelmoral bekräftigt.

“Die westlichen liberalen Demokratien stehen vor einer Glaubwürdigkeitsherausforderung: Sie suchen nach internationaler Unterstützung, um die Verletzungen in Xinjiang zu verurteilen, während sie gleichzeitig selbst beschuldigt werden, in anderen Teilen der Welt mit Doppelstandards zu messen”, betont Christelle Genoud, Autorin der Publikation. Die Forscherin weist damit auf die Notwendigkeit hin, dass diese Demokratien, einschliesslich der Schweiz, über die Grundlagen ihrer eigenen Menschenrechtspolitik nachdenken müssen. “Um den Globalen Süden gegen die Verletzungen in Xinjiang zu vereinen, müssen die westlichen liberalen Demokratien in der Lage sein, die Grenzen ihres eigenen Menschenrechtsansatzes zu erkennen”, schliesst die Autorin.

Auf internationaler Ebene besteht zusehends der Konsens, dass Staaten die Entwicklung und Nutzung künstlicher Intelligenz (KI) aktiver steuern sollten. Das Opportunitätsfenster für die Schweiz, die globalen Leitplanken für KI mitzugestalten, bietet sich jetzt. Insbesondere das Internationale Genf und das direktdemokratische Selbstverständnis der Schweiz sind dabei Trümpfe, die noch besser ausgespielt werden könnten.

Bern, 7. Dezember 2023 – Die Einführung von ChatGPT hat weltweit die Dringlichkeit verstärkt, den Einsatz von KI sicherer, transparenter und ethischer zu gestalten. KI gilt als Schlüsseltechnologie mit immensem Innovationspotenzial. Sie birgt jedoch auch ernstzunehmende Risiken für Gesellschaft und Demokratie. Aufgrund der grenzüberschreitenden Anwendung von KI greifen nationale Ansätze jedoch zu kurz. Der Ruf nach einem internationalen Regelwerk für KI wird daher immer lauter. Als hochentwickeltes und stark vernetztes Land hat die Schweiz ein Interesse daran, sich für eine effektive globale Gouvernanz-Architektur für KI einzusetzen. In der neuesten foraus Publikation «Globale Gouvernanz Künstlicher Intelligenz und die Rolle der Schweiz» geben die Autorinnen Salomé Eggler und Niniane Paeffgen einen Überblick über das dynamische Feld der globalen KI-Gouvernanz und ordnen aus Schweizer Perspektive ein.

 

Die Suche nach einem globalen Gouvernanz-Modell

Bidens Dekret zur Regulierung von KI, das neue KI-Gesetz der EU (AI Act), der KI-Sicherheitsgipfel des Vereinigten Königreichs in Bletchley Park: Sie alle reihen sich ein in einen unübersichtlichen Flickenteppich an KI-Gouvernanz- Initiativen und -Vorschlägen. Bei näherer Betrachtung stellen sich alle Ansätze aber in der einen oder anderen Weise (geografisch, technisch, rechtlich) als unzureichend heraus. Zudem orientieren sie sich häufig an traditionellen Gouvernanz-Modellen, die in erster Linie auf staatliche Akteure ausgerichtet sind. KI ist aber eine Technologie, wie keine andere. Sie ist um Grössenordnungen komplexer und erfordert ein Neudenken der globalen Gouvernanz-Architektur. Die foraus Publikation zeigt auf, dass es trotz begrenztem Handlungsspielraum für die Schweiz sechs Aktionsfelder gibt, um die globale KI-Gouvernanz noch zielführender mitzugestalten. Niniane Paeffgen: «In der Schweiz verspüren wir bisher keine Dringlichkeit in techpolitischen Bereichen. Wenn wir jedoch als Gouvernanz-Standort im 21. Jahrhundert relevant bleiben wollen, dann bedürfen diese Themen einer neuen Priorität auf der politischen Agenda.»

 

Schweizer Trümpfe besser ausspielen

Die Schweiz engagiert sich bereits heute international zum Thema KI, beispielsweise durch ihren Vorsitz beim KI-Komitee des Europarats. Die Voraussetzungen, als führende Forschungs- und Innovationsnation die KI-Gouvernanz-Debatte zu prägen, sind also gegeben. «Doch das Window of Opportunity schliesst sich schnell», so Salomé Eggler. «Immer mehr Staaten übernehmen eine Themenführerschaft oder entwickeln eine Kompetenzvermutung im Bereich KI.» Die Schweiz droht ins Hintertreffen zu geraten. Dabei besitzt sie durchaus einige Trümpfe, welche die Diskussion über KI-Gouvernanz bereichern können.

So eignet sich beispielsweise das Internationale Genf mit seiner breiten Akteurslandschaft in den Bereichen Gouvernanz, Nachhaltigkeit und Digitalisierung, um eine internationale Drehscheibe für AI for Good-Initiativen mit Fokus auf den Klimawandel oder die Agenda 2030 aufzubauen. Genf bietet sich auch als Gaststadt einer möglichen und viel diskutierten, neuen internationalen Organisation für KI-Gouvernanz an. Zusammen mit der Stadt Zürich kann Genf ausserdem über Städtenetzwerke dazu beitragen, dass urbane Gouvernanz-Ansätze für KI mit den globalen Anstrengungen für die Steuerung der Technologie verknüpft werden. Ergänzend dazu, kann die Schweiz basierend auf ihrer direktdemokratischen Tradition und durch das Instrument der Citizen Assembly eine partizipative KI-Gouvernanz fördern, damit nicht nur Tech-Unternehmen, sondern auch die Zivilgesellschaft und Endnutzer:innen eine Stimme erhalten – die fehlende Dimension derzeitiger KI-Initiativen.

Trotz des wachsenden Einflusses internationaler Verträge, die rund 60% aller gültigen Rechtsakte in der Schweiz ausmachen, liegt die Hauptverantwortung für die Gestaltung der Aussenpolitik weiterhin beim Bundesrat. Dem Parlament und der erweiterten Zivilgesellschaft kommt dabei nur eine marginale Rolle zu. Der neueste foraus-Policy Brief präsentiert innovative Ansätze, um die Schweizer Aussenpolitik breiter abzustützen und ihr mehr Stabilität und Legitimation zu verleihen. Im Mittelpunkt der diskutierten Vorschläge steht ein Aufruf zu mehr Partizipation.

 

Im Sinne des vom Bundesrat vorgelegten Entwurfs der Aussenpolitischen Strategie 2024-2027 diskutiert der neueste foraus-Policy Brief “Für eine partizipative Aussenpolitik: Drei Empfehlungen zur Stärkung des Whole-of-Switzerland-Ansatzes”, wie die Aussenpolitik breiter abgestützt und die Handlungsfähigkeit des Bundesrates gestärkt werden kann. Die Aussenpolitik gewinnt seit Jahrzehnten zunehmend an Bedeutung, während die politischen Prozesse nicht auf die heutige aussenpolitische Realität ausgelegt sind. Die Autor:innen Niculin Detreköy, Lukas Gysin, Stefan Kalberer und Marion Knöpfel schlagen drei Massnahmen vor, um die Schweizer Aussenpolitik fit für die Zukunft zu machen.

 

Drei Empfehlungen zur Stärkung der Schweizer Aussenpolitik

Erstens soll im Vorfeld der Ausarbeitung der vierjährigen aussenpolitischen Strategie ein breit abgestützter, institutionalisierter Visionierungsprozess stattfinden. Gestützt auf einen digitalen Partizipationsprozess mit der Zivilbevölkerung werden relevante Stakeholder:innen zur Ausarbeitung der Vision eingeladen. “Die 10-Jahresvision gibt dem Bundesrat einen Rahmen für die aussenpolitischen Strategien vor und stärkt den Whole-of-Switzerland-Ansatz durch die Einbindung wichtiger Akteur:innen”, so Co-Autor Lukas Gysin

 

Zweitens soll der Bundesrat in jeder seiner Botschaften ans Parlament ein Kapitel “Verhältnis zur Schweizer Aussenpolitik” aufnehmen und darin erläutern, inwiefern sich der vorliegende Gesetzesentwurf in die aussenpolitischen Strategien einbettet und inwiefern der Gesetzesentwurf zur Erreichung der aussenpolitischen Ziele beiträgt.

 

Drittens sollen zivilgesellschaftliche Organisationen die Möglichkeit erhalten, dem Aussenpolitischen Bericht des Bundesrates einen Schattenbericht gegenüberzustellen. “Derzeit legt der Bundesrat im Aussenpolitischen Bericht Rechenschaft über sein aussenpolitisches Handeln ab. Der Schattenbericht soll dem Parlament eine weitere Perspektive erschliessen und somit zu einer konstruktiven Debatte zur Bilanz der Schweizer Aussenpolitik beitragen”, erklärt Co-Autorin Marion Knöpfel.

 

Aussenminister Ignazio Cassis sagte im Jahr 2018 “Aussenpolitik ist auch Innenpolitik”. Diese Aussage gewinnt vor dem Hintergrund der aktuellen Entwicklungen zunehmend an Bedeutung.

Die vorgeschlagenen Massnahmen der Autor:innen gehen das wachsende Ungleichgewicht in der Aussenpolitik zwischen den politischen Akteur:innen effektiv an. Sie stärken die Legitimation der Aussenpolitik und die Handlungsfähigkeit des Bundesrates langfristig. Somit verhelfen sie der Schweiz zu einer zukunftsgerichteten und breit abgestützten Aussenpolitik.



Le foraus sort aujourd’hui une série de briefings sur la politique étrangère : des publications concises portant sur les enjeux de politique étrangère qui marqueront l’agenda politique de la législature 2024-2027. Les 14 documents offrent une introduction à des thèmes complexes de politique étrangère et doivent servir de base pour les parlementaires, les candidates et candidats aux élections et les partis politiques. Par leur publication, foraus met l’accent sur la politique étrangère avant les élections nationales.

 

Les briefings du foraus – Forum de politique étrangère sont parus aujourd’hui. Vingt-trois expert·e·s en politique étrangère y font la rétrospective de la législature 2019-2023 qui touche à sa fin et analysent la participation du Parlement à l’élaboration de la politique étrangère suisse au cours des quatre dernières années. Les publications décrivent aussi les thèmes qui détermineront l’agenda politique de la législature 2024-2027. « Ces briefings sont à la fois une boussole et un télescope : quelles interventions importantes en matière de politique étrangère ont été déposées entre 2019 et 2023 ? Quels projets ont été traités au cours de la législature actuelle ? Et quelles seront les priorités de l’Assemblée fédérale entre 2024 et 2027 ? Avec ces briefings, nous souhaitons offrir une synthèse systématique des thèmes de politique étrangère, établir un classement et contribuer à un débat constructif », explique Fabian Dalbert, coéditeur. 

 

Une base d’information pour des solutions étayées

Ces derniers mois, la politique étrangère a fait l’objet d’un débat d’une ampleur inégalée depuis longtemps : la guerre en Ukraine, les désaccords sur les livraisons indirectes d’armes et le naufrage du CS ont donné lieu à de grands débats de politique étrangère qui occuperont encore longtemps la politique nationale. La nouvelle Assemblée fédérale devra se pencher sur de nombreuses questions de politique étrangère extrêmement complexes. « Les 14 briefings de politique étrangère décrivent les développements internationaux dynamiques dans différents domaines thématiques et montrent à quel point nombre de défis ont une dimension internationale. Les publications doivent servir de base d’information sérieuse aux parlementaires, aux candidates et aux candidats aux élections et aux partis politiques pour leur permettre d’anticiper les tendances et de développer des réponses politiques viables », dit Vera Eichenauer, coéditrice. 

 

Remettre la politique étrangère au premier plan

Alors que la quasi-totalité des 18 priorités du programme de législature 2019-2023 comportent une dimension de politique étrangère, les partis n’accordent pas à ces thèmes l’importance qu’ils méritent dans leurs campagnes électorales. La politique étrangère est souvent reléguée au second plan, n’ayant pas un grand potentiel de mobilisation, car elle concerne souvent l’électorat de manière indirecte. Pourtant, ces thèmes seront aussi décisifs pour l’avenir de notre pays et des générations futures. « Avec ces briefings, nous souhaitons que la politique étrangère fasse l’objet d’un débat constructif dans le contexte de la politique nationale », explique Oskar Jönsson, coéditeur. 





Heute veröffentlicht foraus eine Serie von Aussenpolitik-Briefings:   prägnante Publikationen über die aussenpolitische Herausforderungen, welche die politische Agenda in der Legislatur 2024-27 bestimmen werden. Die 14 Publikationen bieten Orientierung über komplexe aussenpolitische Themen und sollen als Informationsgrundlage für Parlamentarier:innen, Wahlkandidat:innen und politische Parteien dienen. Mit diesen Publikationen rückt foraus den Fokus vor den nationalen Wahlen auf die Aussenpolitik.

 

Heute sind die Aussenpolitik-Briefings von foraus – Forum Aussenpolitik erschienen. Darin blicken 23 Aussenpolitik-Expert:innen einerseits zurück auf die auslaufende Legislaturperiode 2019-23 und analysieren, wie das Parlament die Aussenpolitik in den letzten vier Jahren mitgestaltet hat. Andererseits beschreiben die  Publikationen, welche Themen die politische Agenda in der Legislatur 2024-27 bestimmen werden. “Die Briefings sind Kompass und Fernrohr zugleich: Welche wichtigen, aussenpolitischen Vorstösse wurden in den Jahren 2019-23 eingereicht, welche Vorlagen in der laufenden Legislatur behandelt? Mit welchen Schwerpunkten wird sich die Bundesversammlung in den Jahren 2024-27 auseinandersetzen müssen? Mit den Briefings möchten wir einen systematischen Überblick bieten, einordnen und  zu einer konstruktiven Debatte über aussenpolitische Themen beitragen”, sagt Mitherausgeber Fabian Dalbert. 

 

Informationsgrundlage für fundierte Lösungsansätze

In den letzten Monaten wurde Aussenpolitik so breit diskutiert, wie schon lange nicht mehr: Der Ukrainekrieg, das Ringen um indirekte Waffenlieferungen und der Niedergang der CS haben zu grossen Diskussionen aussenpolitischen Ausmasses geführt, die die nationale Politik noch lange beschäftigen werden. Die neue Bundesversammlung wird sich mit vielfältigen und extrem komplexen aussenpolitischen Fragestellungen auseinandersetzen müssen. “Die 14 Aussenpolitik-Briefings beschreiben die dynamischen internationalen Entwicklungen in verschiedenen Themengebieten und zeigen, wie viele Herausforderungen eine internationale Dimension haben. Die Publikationen sollen Parlamentarier:innen, Wahlkandidat:innen und politischen Parteien als fundierte Informationsgrundlage dienen, um Entwicklungen frühzeitig zu antizipieren und tragfähige politische Antworten zu entwickeln”, so Mitherausgeberin Vera Eichenauer. 

 

Aussenpolitik wieder in der Vordergrund rücken

Während nahezu alle 18 Prioritäten des Legislaturprogramms 2019-2023 eine aussenpolitische Dimension haben, werden aussenpolitischen Themen in den Wahlkämpfen der Parteien nicht die entsprechende Wichtigkeit beigemessen. Sie haben wenig Mobilisierungspotential, denn sie betreffen die Wählerschaft häufig indirekt und werden deshalb hinten angestellt. Doch es sind auch diese Themen, die für die Zukunft unseres Landes und zukünftige Generationen entscheidend sind. “Mit den Aussenpolitik-Briefings möchten wir erreichen, dass die Aussenpolitik im Kontext der nationalen Politik konstruktiv diskutiert wird”, so Mitherausgeber Oskar Jönsson.

 

La dernière publication du foraus présente deux propositions visant à mettre fin à l’impasse actuelle dans le dossier de l’accord institutionnel. Les deux propositions consistent en un reparamétrage de l’accord existant et en l’octroi de garanties de la part de l’UE. Depuis plus d’un an, le dialogue entre la Suisse et l’UE ne progresse pas. En effet, la réforme des mesures d’accompagnement prévue par l’accord institutionnel se heurte à une vive résistance en Suisse.

Dans sa dernière publication, le foraus présente trois approches pour réaliser des progrès considérables en matière de politique environnementale. Pour ce faire, il convient notamment de déléguer davantage de différends et de questions aux tribunaux internationaux afin de clarifier le contenu et la portée du droit de l’environnement et de renforcer le respect du droit de l’environnement et l’exécution des arrêts.

In der aktuellsten Publikation präsentiert foraus drei Ansätze, wie man tiefgreifende Fortschritte in der Umweltpolitik erzielen kann. Zu diesem Zweck müssen unter anderem mehr Dispute und Fragestellungen an internationale Gerichte delegiert werden, um den Inhalt und Umfang des Umweltrechts zu klären, sowie die Einhaltung des Umweltrechts und die Umsetzung von Urteilen zu stärken.

Anna Stünzi a été élue à la présidence lors de l’Assemblée générale extraordinaire. Elle succède ainsi à Nicola Forster, cofondateur du think tank il y a dix ans.

Anna Stünzi wurde an der ausserordentlichen Generalversammlung zur neuen Präsidentin von foraus gewählt. Sie folgt auf den langjährigen Präsidenten Nicola Forster, der den Think Tank vor zehn Jahren mitgegründet und erfolgreich aufgebaut hat.

Dans sa dernière publication, le foraus présente quatre propositions novatrices pour mieux protéger la biodiversité au niveau mondial. Ces solutions ont été développées dans le cadre du projet pilote de la nouvelle plateforme d’innovation Policy Kitchen. Cette plateforme numérique offre la possibilité de développer des solutions communes aux questions de politiques nationales et internationales au travers du crowdsourcing. Policy Kitchen est rendu possible grâce au soutien d’Engagement Migros.

In der aktuellsten Publikation präsentiert foraus vier innovative Vorschläge, wie man auf globaler Ebene Biodiversität besser schützen kann. Die Lösungen wurden im Rahmen des Pilotprojektes der neuen Innovationsplattform Policy Kitchen erarbeitet, welche die Möglichkeit bietet, gemeinsame Lösungen für nationale und internationale politische Fragen zu erarbeiten, sogenanntes Crowd-Sourcing. Policy Kitchen wird ermöglicht durch Engagement Migros.

le foraus présente deux publications sur l’intelligence artificielle (IA), proposant un renforcement du rôle pour la Suisse et une amélioration de l’inclusion dans ce domaine. Les publications sont le fruit d’un processus mis en place par la plateforme d’innovation Policy Kitchen et qui vise à développer des solutions communes pour des questions de politiques nationales et internationales. Policy Kitchen est rendu possible grâce au soutien d’Engagement Migros.

À l’occasion de son 10e anniversaire, le think tank foraus s’offre un relooking. L’ancienne identité visuelle sera remplacée par un nouveau graphisme plus percutant et qui soulignera la bonne implantation du think tank en tant que moteur dans le système politique, ainsi que les valeurs des « grassroots » et de la participation. Ce rebranding donne le coup d’envoi de diverses festivités et activités dans le cadre des dix ans de foraus.

Das foraus-Programm Entwicklungspolitik veröffentlichte heute seine Stellungnahme zur Vernehmlassung zur Strategie der Internationalen Zusammenarbeit 2021-2024. Die Programmleitung moderierte dabei einen Crowdsourcing-Prozess, wobei über 30 ExpertInnen gemeinsam den Erläuternden Bericht zur internationalen Zusammenarbeit analysierten und kritisch diskutierten. Die Stellungnahme ist in elf thematische Punkte gegliedert.

The European Union (EU) is currently lacking legitimacy in the eyes of many EU citizens. Timely to the upcoming European elections, the authors of the newest foraus-White Paper present their ideas on how to re-energise the European integration project to EU decision makers. Core of the White Paper are several practicable solutions to reduce the democratic deficit without having to change any treaty and which could be easily implemented.

Obwohl die Schweiz eine der wettbewerbsfähigsten Volkswirtschaften ist, liegt sie im Bereich Geschlechtergleichstellung hinter den meisten OECD-Ländern. Um Trends wie diesem entgegenzuwirken, formuliert die erste foraus-Publikation des Programms Gender zehn Empfehlungen, welche die Geschlechtergleichstellung im Schweizer Arbeitsmarkt garantieren und die Schweizer Politik mit den Handlungsvorschlägen auf internationaler Ebene vereinbaren soll.

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